Photos:
Contact:
M. DESSERT Joël
465 Rue du Marry
01660 SAINTE EUPHEMIE
04.74.08.50.96
dessert.c@neuf.fr
1-compte-rendu-conseil-municipal-du-26-janvier-2016
compte-rendu-conseil-municipal-08-mars
3-compte-rendu-conseil-municipal-du-12-avril-2016
4-compte-rendu-conseil-municipal-du-10-mai-2016
5-compte-rendu-conseil-municipal-07-juin-2016
6-compte-rendu-conseil-municipal-du-5-juillet-2016
7-compte-rendu-conseil-municipal-du-30-aout-2016
8-compte-rendu-conseil-municipal-du-13-septembre-2016
9-compte-rendu-conseil-municipal-du-11-octobre-2016
10-compte-rendu-conseil-municipal-du-8-novembre-2016
11-compte-rendu-conseil-municipal-du-20-decembre-2016
Aux Bruyères nord, la petite zone d’activités communale n’offre plus beaucoup d’espaces disponibles.
Elle à contribué au mitage du territoire et à la déstructuration de l’agriculture sur le plateau sud.
Le problème de l’accueil d’activités est géré complètement dans le cadre de la communauté de communes Saône-Vallée ; l’échelle de la commune de Ste-Euphémie n’étant plus pertinente sauf en ce qui concerne l’intégration d’activités dans le tissu urbain, de façon à poursuivre une politique plurifonctionnelle du tissu urbain tout à fait traditionnelle à Ste-Euphémie
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
Mme GUIGNARD Jeannine
1335 route d’Ars – 39 Le Montferrand
01600 STE EUPHEMIE
04 74 00 24 97
guignard-claude@orange.fr
www.yoga-sainte-euphemie.fr
Vers 1850, cet édifice se composait d’une nef plafonnée, avec un cœur d’un style de transition, d’un clocher refait après la Révolution et d’une chapelle dédiée à Ste-Euphémie de style gothique, voutée avec nervures.
L’église fut complètement reconstruite 50 mètres à l’est de l’ancienne, dans un style néo-roman avec peintures et mosaïques, par l’architecte Thoubillon et fut achevée en 1875.
La chapelle démolie se retrouve aujourd’hui dans l’église de Toussieux.
Un caveau sous la chapelle a servi longtemps de bassin dans le jardin de la mairie, mais se trouve à ce jour comblé.
L’église de Ste-Euphémie, dominant le bourg sur une terrasse gazonnée, ouvre ses portes au midi et non pas à l’ouest comme la plupart des autres églises.
A l’extérieur, la sculpture, le tympan, évoque le martyr de la jeune chrétienne représentée avec trois lions à ses pieds et deux anges à sa tête la couronnant.
A droite du porche, se trouve la statue en pierre de la Vierge, les mains jointes et au nez cassé. (Hauteur de 140cm)
A l’intérieur, dans le cœur, une grande peinture murale sur un fond de mosaïque or représente le Christ et les douze apôtres, ainsi que douze Saints ou martyrs.
Elle est l’œuvre du peintre lyonnais Claude BarriotClaude Barriot, né et mort à Lyon (1846 – 1908), fait ses études à l’Ecole des Beaux Arts de Lyon. Il fait partie de « l’Ecole de Plein Air ». En 1891, il reçoit la médaille d’honneur de la Société Lyonnaise des Beaux Arts pour son tableau « Au Champs ». Ses œuvres les plus célèbres sont : « La Faneuse », « Les Bergers au Soleil », « La Gardeuse de Chêvres ».
Dans le domaine religieux, il peint pour les églises Saint Pierre à Vaise, Saint Pothin à Lyon, Limas. Il est aussi professeur de dessin à l’Ecole Privée Montgré à Villefranche sur Saône.comme la peinture sur toile collée sur le mur de la chapelle représentant Sainte Euphémie secourant des malheureux.
A la voute de l’abside, trois anges symbolisant la trinité…dominent.
Les vitraux sont signés Paquier Sarrasin Auguste Jean Baptiste Pasquier,
dit Sarrasin, né et mort à Lyon (1847 – 1909) fait ses études à l’Ecole des beaux-arts de Lyon. Il devient peintre et peintre verrier. Il est aussi professeur à l’Ecole Municipale de Dessin, dite « Ecole du Centre » à Lyon et officier de l’Instruction Publique. En 1890, il reçoit une médaille d’or. Parmi ses œuvres, on peut citer « La Vie de saint Vincent de Paul » dans l’église de Châtillon sur Chalaronne et « Le Rosaire » à l’église de Lentilly. Il réalise également des vitraux d’appartements, à la mode à cette époque
Cette église qui devait la beauté de sa décoration à deux généreux donateurs constitue un magnifique échantillon, resté dans l’ensemble intact, de l’art religieux du XIXème siècle.
Mme KIRCHHOFFER Hélène
185 Rue des Moulins
01600 SAINTE EUPHEMIE
06 62 08 03 60
hreveau@wanadoo.fr
Cette croix daterait du XVIIème ou du XVIIIème siècle
elle a été rétablie en 1885 selon l’inscription du socle, et restaurée par la communauté de commune Saône-Vallée très récemment.
Le Christ et la Vierge sont sculptés à pleine pierre, de part et d’autre de la croix.
(Jean Machard, sacristain de l’église de Lyon en début du XVIe siècle)
Chemin de la Botasse
Aux confins Nord de la commune.
Son croisillon a été sauvé par M.l’abbé Nodet
Le domaine dépendait de la baronnie de Villeneuve.
« Le 20 décembre 1554, Pelonne Bonsin, mère et tutrice de David, fils de Jean Cleberger… seigneur et baron de Villeneuve… présenta au roi Claude Boujard, de Sainte Euphémie, pour être châtelain de Villeneuve… Le roi lui accorda ces provisions sur cette présentation… »(10)
Hans Kleberger, ou Jean Cleberger après sa naturalisation, est né à Nuremberg en 1485. Il est d’abord employé chez un important banquier de cette ville. Il se forme aux pratiques du négoce et finit par épouser la fille de son patron. Il est envoyé à Lyon pour y représenter les intérêts de son beau-père. Fortune faite, il achète une seigneurie dans les environs et une baronnie dans la Dombes, il obtient sa naturalisation, prête de l’argent au roi… et trouve une nouvelle épouse : Pelonne. Les Lyonnais l’appellent « le bon allemand » car il se signale par sa générosité. Honneur rarissime pour un non lyonnais, il est élu, en 1545, Conseiller de la ville.
Sa statue, quai Pierre-Scize à Lyon, est connue sous le nom de l’ « Homme de la Roche ». (8)
Corgne, chevalier et seigneur de Villeneuve et de Montferrand. De lui vient le nom du lotissement « Le Montferrand » construit dans la deuxième moitié du XXème siècle.
Le 23 septembre 1651, le domaine est érigé en fief1 par la duchesse de Montpensier, souveraine de Dombes, en faveur de Suzanne Boujard, épouse de Claude Mazuyer, secrétaire du roi, « à la charge de l’hommage et d’une paire d’éperons dorés tous les ans ».
« Ils y ont fait bâtir une belle maison en forme de château »
Suzanne Boujard meurt à Paris en 1668. Sa fille Marguerite, née en 1637 épouse Jean le Corgne, chevalier et seigneur de Villeneuve et de Montferrand. De lui vient le nom du lotissement « Le Montferrand » construit dans la deuxième moitié du XXème siècle.
Le château a été remanié et mis au goût du jour à l’époque 1900. La cour, la tour, la chapelle et le portail de style Louis XIII ont été conservés. Le parc présente des arbres majestueux.
A l’extrémité sud du domaine, la tour a été élevée en 1856 dans le style romantique dit « troubadour » par un dénommé Fayard, négociant en vin.
Un blason porte l’inscription « Parvula sed satis » ce qui signifie « Petite mais suffisante ».
Située alors au milieu des vignes, elle a inspiré le peintre Maurice Utrillo qui l’a représentée sur une gouache sur papier en septembre 1929. (dimensions : 18,5 x 13,5 cm)
La tour figure sur le blason de la commune.
……………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………….
Mme JEAN-CHARLES Christie
M. PERRAUD Alexis – Animateur
300 rue de la Mairie
01600 SAINTE EUPHEMIE
04 74 00 02 86
alexis@seaj.fr
06 21 94 48 88
Mme URIDAT Delphine
300 Rue du Marry
01600 SAINTE EUPHEMIE
04.74.00.44.97
delphine.uridat@adeli.biz
L’association …………………………………………………………………………………… ………………………………………………………………………………………………………………. ……………………………………………………………………………………………………………….
M. ABDILLA Bernard
320 Rue du Marry
01600 SAINTE EUPHEMIE
04 74 00 69 28
bernard.abdilla@wanadoo.fr